Dis, que dirais-tu ?
Dis, que dirais-tu, vieux coquin,
si jamais tu nettoyais tes verres,
pour chercher un peu,
comment tu as utilisé ton temps.
Des bras doux auraient souvent aimé te coucher si doucement ;
Mais tu te tenais froidement de loin,
Immobile, comme enchaîné.
Il arrivait souvent que vous vous mettiez en colère,
et que vous en vouliez du beau temps,
simplement parce que tel ou tel,
ne le voulait pas comme vous le vouliez.
Donc, vous avez erré en vain pour la plupart ;
Parce que la somme de nos vies,
sont les heures où nous aimons
Par Gilles LAWSON
Du même auteur :